Juste après le passage du feu, nous pouvons accéder aux premiers ruchers sinistrés…
Dans plusieurs sites, entre Léoube et le Trapan, les ruches en bois on littéralement disparu, il ne reste que les toits et les poignées métalliques. Plus aucune trace des ruches en polystyrène et des palettes de support. Nous avons perdu des ruches et des colonies vivantes dans l’incendie, mais c’est aussi la végétation et la nourriture des abeilles pour l’hiver qui vont manquer.
Il nous reste des ruches, des abeilles et beaucoup de volonté pour continuer notre installation, mais tout ce vivant et ce travail envolés en fumée restent difficile à supporter. Nous avons toujours le courage et le sourire pour continuer cette aventure !